Des litres coulent d’une fontaine
Et se déversent en plein mépris
Dans l’immensité hautaine
Des profondeurs de l’ennui.
Des larmes coulent sur des joues
Qui ne les épongent plus
Depuis qu’elles prennent les coups
Les signes de cet amour perdu.
L’eau s’écoule, paisible paysage
Comme sur ce doux visage
Mais le doute est encore permis.
A même situation, deux images
Une beauté cache l’ombre d’un mirage
Peut-être n’est elle plus en vie.
2020